Hier, 3 avril, c’était la journée de tous les temps. Le temps de la nature qui nous montre encore une fois la beauté et la difficulté de notre sport. Un vent fort, des ascendances hachées et la bataille du pilote contre la gravité peut se jouer une nouvelle fois ; la défaite est certaine mais la fin n’est pas importante. Le plaisir du vélivole, c’est de pouvoir dire à la vent arrière de son champ ou de son terrain : « pas maintenant ».
C’était aussi le temps des amitiés, des retrouvailles et des rires, mais ça ça reste entre nous..
Maintenant, c’est le temps qui suspend son vol pour nous protéger, protéger nos familles, nos amis. A vous et à tous, je vous souhaite de bien vous porter et beaucoup d’autres belles batailles à livrer prochainement.